Bonjour à tous,
Un petit résumé rapide et anachronique de mes aventures livresques et cinématique de cette année.
Les souvenirs
En 2021, j’ai fait une petite plongée dans les souvenirs de mon adolescence que cela soit en livre ou en séries DVD Pour l’adolescence, sont les livres Twilight, bien sur motivé par la sortie de Moodnigt. de Stéphanie Meyer, et la série How I Meet Your Mother pour la série TV.
Bien sur j’ai commencé par Moodnigt et j’ai repris tous les tomes un par un. Mon préféré reste le dernier et le premier. Le fait de voir Bella à travers les yeux d’Edward la rend plus attachante. Le jeu de miroir avec le premier tome m’a beaucoup plu.
Et honnêtement, même si adolescent j’avais préféré le film tome 1 au livre, aujourd’hui je préfère largement les livres. Pour être honnête, je pense qu’avoir été spolié ma copine, j’avais juste lit le tome 1 en vitesse avant d’aller voir le tome 2 (ou 1 ?) au cinéma. Bref je n’avais pas bien pris le temps d’apprécier.
En revanche, je n’ai apprécia la réécriture de Twilight en inversant le rôle de Bella et Edward. Pour moi, ca aurait pu être intéressant si tout les garçons n’étaient pas devenu des filles et inversement. D’un autre côté, je pense que ça aurait donné une autre histoire de Twilight, et c’est que l’auteur ne voulait pas faire. Elle voulait prouver que Bella soit une fille ou un homme ne changeait en rien l’histoire. Mais, je sais pas, je dois être attachée à la version originale pour cela.
Pour l’époque du collège c’est la saga Eragon en livre. Le film n’ayant rien à voir avec les livres pour les coups, et rancunière comme je suis, je ne leur pardonne toujours pas de comment est représenté Saphira dans le film.
Pour ce qui est du compte des séries , j’ai enfin fini la dernière saison de Ghost Whisperer. Oui, je sais je suis très en retard, mais en cours de route, je n’ai plus eu de temps personnel. Ce n’est que récemment en voyant un épisode passé la télé, que je me suis rappelé que je ne l’avais pas fini. Et je n’ai toujours pas vu la série dans l’ordre. Oui, je sais il y a Netflix, Amazon Prime, Disney + etc.. Mais ? comme pour les livres , je suis attaché à l’objet Pour moi, toucher les livres ainsi que les jaquettes fait partie du packaging et donc du plaisir. Mettre du temps en faisant plusieurs allers-retours entre divers magasins, l’acheter, et attendre quelques jours, semaines, mois en prévision de la prochaine soirée maison solo fait partie du jeu et donc du plaisir.
Ainsi, avec mes beaux-parents, on a également repris le visionnage des films Disney dans leur ordre chronologique, eux en VHS, et moi en DVD. Je ne suis plus donc toute seule dans mon petit délire. Parce que oui, je trouve cela assez divertissant de voir l’évolution des dessins et la façon dont le studio raconte les histoires avec le temps. Je pense que je vais reprendre en accéléré le visionnage, car d’une part, en regardant Cruella au cinéma, j’avais envie de revoir les 101 Dalmatiens et que d’autre part mes parents sont en avance dans le visoniage. Ils ont commencés mon petit jeu bien après moi, et aux dernières nouvelles il en étaient aux Aristochat. Je n’en suis à la Belle et au Clochard.
Pour l’époque de l’université, c’est la série Castle que je me refais. Surtout que je ne connais toujours pas la fin. Je la regardais avec mes parents à la télévision et lorsque la fin fut diffusé en France, je suis partie en Angleterre-et oui, encore au milieu de la saison. Le plus drôle c’est qu’au début, je regardais la série de temps en temps pour faire plaisir à mes parents et quand je me suis accroché à l’univers, mes parents se sont lassés. C’était eux qui regardaient pour me faire plaisir et qui m’offraient les bouquins de Castle pour mon plus grand bonheur. Même si j’en ai que quelqu’un et que je le ne les ai pas reçus dans le bon ordre, cela donne un nouveau regard sur la sérié, enfin, seulement pour les scènes de fan addict avec l’écrivain Castle.
Les découvertes livresques
En ce ce qui concerne les découvertes littéraires, j’ai pris une claque avec le couple d’à côté de Shari Lapena. Apparemment, il est sorti en 2008 en poche et c’est son premier roman. Mais, pour ceux qui me connaissent bien, je ne suis pas réellement les actualités. Heureusement que celui-là je l’ai entamé pendant les vacances car j’ai pu le dévorer en une soirée et matinée. Mon copain qui attendait toujours de voir ma frénésie en tant que lectrice n’a pas été déçue. Parce que oui, il me connaissait un peu comme une grande lectrice par mon entourage mais ne m’avais jamais vu réellement lire depuis qu’il me connaît. Mais avec Shari Lapena, j’ai été happée par l’histoire. Un bébé qui est laissé seul au denier moment pour aller diner chez les voisins, car la baby-sitter avait eu un empêchement de dernière minute. Pas réellement un huit-clos, mais le fait que les parents n’osent pas sortir à cause de leur culpabilité et la honte médiatique qui s’abatte sur eux et qu’il y ait pas 36 milles personnages, fausses pistes et que les enquêteurs butent sur la présence initialement prévue de la baby-sitter m’a assurée un suspense et un rythme haletant.
J’ai également pu enfin attaqué Indridason. Même si je suis passé de la romance à un thriller du froid (je ne sais plus dans quel pays nordique cela se passe réellement) , j’ai beaucoup aimé les histoires ainsi que le fait que les enquêteurs ont une vie en dehors des romans. Bien évidemment les tomes ne racontents que les enquêtes, mais comme on est plongé dans les pensées d’Erlendur, on suit aussi l’évolution de ses enfants adultes et plutôt partis du mauvais côté de la balance. L es sujets peuvent être dur à encaisser: meurtre d’enfants, viols, pédophilie etc. L’auteur décrit durement la dualité de cet univers sans tombé dans le pathos ni le sarcasme ou encore le cliché du flic, seul contre tous..
Les sorties cinéma.
La première sotie cinéma après le déconfinement fut Sans un Bruit 2. J’ai bien aimé le film, de voir dans le prologue, comment s’est passé l’arrivée des monstres et enchaîné après le générique du début sur la suite des évènements du au un m’a agréablement surpris. Je pense que je n’aurais pas aimé un préquel mais voir la bascule entre le monde d’avant et le monde que l’on découvre dans le premier opus est assez intéressant. Après j’avoue qu’entre la sortie de Sans un Bruit 1 et de Sans un Bruit 2 au cinéma, je n’avais pas revu le film et oublié quelques détails. Et comme pour le 1, j’ai du demander des explications sur des petits choses que j’avais loupé, et des petits travers scénaristiques. Enfin, sur des petites choses qui me paraissent un peu trop gros, mais en même temps sans ces nouveaux éléments perturbateurs, le film aurait traîné en longeur. Ce qui n’est pas du tout le cas dans le rythme de la narration.
La deuxième fut Cruella, et pour une fois j’avais rien à redire sur les méchants de Disney. Bon après personnellement, j’ai choqué la vendeuse lorsque je lui acheté les billets en disant que Cruella a toujours fait partie des mes méchantes préférées pour ne pas dire la préférée. Elle se dispute un peu la place avec le Dr Facilier. Alors bien sur, je n’aurais pas aimé qu’elle gagne et elle me faisait peur lorsque j’étais gamine. Mais, finalement, de toutes les méchants Disney de ma jeunesse c’est celle qui m’avait le plus marqué et puis j’adore la chanson que Roger lui dédie. J’avoue que la vendeuse m’a bien fait rire en voulant nous convaincre d’aller voir le film alors que j’avais déjà les places. Oui, chéri a un peut été contraint de m’accompagner mais pour ma défense c’est lui qui a proposé. Elle a quand même réussi à me spoiler la scéne de post générique (oui, il faut rester après le générique) et m’a informée que le 2 était déjà prévu au cas où Cruella fonctionnerait bien. (j’ai un peu perdu la mémoire, je ne sais plus si ils l’ont déjà tournés ou encore si ils sont en train de le faire, mais dans tous les cas il est en préparation. Entre les trois derniers films que j’ai vu au cinéma, Cruella reste mon préférée. Je ne sais pas trop comment le raconter sans le spoiler, mais on y apprend évidement comment Cruella est devenue ce qu’elle est. Et comme on évolue quand même dans un milieu de mode, les costumes sont magnifiques et les arnaques sont belles. Et non, elle ne tue pas les chiens dans le film. Je le dis, parce que je sais que ça a rebuté pas mal de monde, et que certains ne veulent pas aller le voir à cause de ça, mais cela reste quand même un Disney.
Et bon pour le dernier, j’ai accompagné mon homme, grand fan d’Alexandre Astier et de Kaamelott au cinéma. Personnellement, je connaissais pas la sérié-hormis les passages à la télé qui sont dans le désordre. Et bah franchement, le pari de doner envie d’aller mater l’intégrale de la série pour les non initiés à été réussi pour moi. Après, je la regardais aussi avec mes frères aînés quand j’étais petite,, qu’on avait le droit de regarder la télévision si elle fonctionnait et que c’était à leur tour de choisir le programme. Mais même si j’ai bien compris l’histoire et qu’il y a pas vraiment besoin de regarder la série pour voir le film, mon homme assure que j’ai loupé plein de petits détails et que la profondeur des scènes m’a échappé. Je vais essayer de ne pas spoiler, mais je vous garanti rien. En fait, on a eu un petit débat sur le pourquoi de certaines scènes, l’explication qui est donné dans le film est logique pour moi, mais d’après lui et d’autres fans il ne s’agit pas des vraies raisons des personnages et qu’il faut voir la série pour comprendre. Bon, du coup, il m’a spoilé la série et personnellement je ne vois pas trop ce que ca change.
Par contre, concernant la scène du post-générique : oui, il faut rester et j’ai du galérer pour que mon compagnon la regarde alors que c’est lui le fan et qu’elle n’est compréhensible que si on a vu la série. Et il était tout content de la surprise…. Et j’ai eu un peu de mal à comprendre les scènes où l’on voit enfant Arthur, car les passages étaient un peu trop éloignés les uns des autres pour que je comprenne vraiment le fil. Après vu que les scènes sont distillés en fonction des souvenirs du ro, qu’il ne s’agit pas d’ellipses temporels, leurs distances s’expliquent facilement . Et faut dire aussi que j’ai un peu perdu le fil de l’histoire par une douleur au poignet qui est intervenu pendant le visionnage. Donc je pense que j’ai eu aussi des petites absences qui avaient rien à voir avec le film à l’écran.