PAL 2021

Bonjour à tous,

Un petit résumé rapide et anachronique de mes aventures livresques et cinématique de cette année.

Les souvenirs

En 2021, j’ai fait une petite plongée dans les souvenirs de mon adolescence que cela soit en livre ou en séries DVD Pour l’adolescence, sont les livres Twilight, bien sur motivé par la sortie de Moodnigt. de Stéphanie Meyer, et la série How I Meet Your Mother pour la série TV.

Bien sur j’ai commencé par Moodnigt et j’ai repris tous les tomes un par un. Mon préféré reste le dernier et le premier. Le fait de voir Bella à travers les yeux d’Edward la rend plus attachante. Le jeu de miroir avec le premier tome m’a beaucoup plu.

Et honnêtement, même si adolescent j’avais préféré le film tome 1 au livre, aujourd’hui je préfère largement les livres. Pour être honnête, je pense qu’avoir été spolié ma copine, j’avais juste lit le tome 1 en vitesse avant d’aller voir le tome 2 (ou 1 ?) au cinéma. Bref je n’avais pas bien pris le temps d’apprécier.

En revanche, je n’ai apprécia la réécriture de Twilight en inversant le rôle de Bella et Edward. Pour moi, ca aurait pu être intéressant si tout les garçons n’étaient pas devenu des filles et inversement. D’un autre côté, je pense que ça aurait donné une autre histoire de Twilight, et c’est que l’auteur ne voulait pas faire. Elle voulait prouver que Bella soit une fille ou un homme ne changeait en rien l’histoire. Mais, je sais pas, je dois être attachée à la version originale pour cela.

Pour l’époque du collège c’est la saga Eragon en livre. Le film n’ayant rien à voir avec les livres pour les coups, et rancunière comme je suis, je ne leur pardonne toujours pas de comment est représenté Saphira dans le film.

Eragon: Book One

Pour ce qui est du compte des séries , j’ai enfin fini la dernière saison de Ghost Whisperer. Oui, je sais je suis très en retard, mais en cours de route, je n’ai plus eu de temps personnel. Ce n’est que récemment en voyant un épisode passé la télé, que je me suis rappelé que je ne l’avais pas fini. Et je n’ai toujours pas vu la série dans l’ordre. Oui, je sais il y a Netflix, Amazon Prime, Disney + etc.. Mais ? comme pour les livres , je suis attaché à l’objet Pour moi, toucher les livres ainsi que les jaquettes fait partie du packaging et donc du plaisir. Mettre du temps en faisant plusieurs allers-retours entre divers magasins, l’acheter, et attendre quelques jours, semaines, mois en prévision de la prochaine soirée maison solo fait partie du jeu et donc du plaisir.

Ainsi, avec mes beaux-parents, on a également repris le visionnage des films Disney dans leur ordre chronologique, eux en VHS, et moi en DVD. Je ne suis plus donc toute seule dans mon petit délire. Parce que oui, je trouve cela assez divertissant de voir l’évolution des dessins et la façon dont le studio raconte les histoires avec le temps. Je pense que je vais reprendre en accéléré le visionnage, car d’une part, en regardant Cruella au cinéma, j’avais envie de revoir les 101 Dalmatiens et que d’autre part mes parents sont en avance dans le visoniage. Ils ont commencés mon petit jeu bien après moi, et aux dernières nouvelles il en étaient aux Aristochat. Je n’en suis à la Belle et au Clochard.

Pour l’époque de l’université, c’est la série Castle que je me refais. Surtout que je ne connais toujours pas la fin. Je la regardais avec mes parents à la télévision et lorsque la fin fut diffusé en France, je suis partie en Angleterre-et oui, encore au milieu de la saison. Le plus drôle c’est qu’au début, je regardais la série de temps en temps pour faire plaisir à mes parents et quand je me suis accroché à l’univers, mes parents se sont lassés. C’était eux qui regardaient pour me faire plaisir et qui m’offraient les bouquins de Castle pour mon plus grand bonheur. Même si j’en ai que quelqu’un et que je le ne les ai pas reçus dans le bon ordre, cela donne un nouveau regard sur la sérié, enfin, seulement pour les scènes de fan addict avec l’écrivain Castle.

Les découvertes livresques

En ce ce qui concerne les découvertes littéraires, j’ai pris une claque avec le couple d’à côté de Shari Lapena. Apparemment, il est sorti en 2008 en poche et c’est son premier roman. Mais, pour ceux qui me connaissent bien, je ne suis pas réellement les actualités. Heureusement que celui-là je l’ai entamé pendant les vacances car j’ai pu le dévorer en une soirée et matinée. Mon copain qui attendait toujours de voir ma frénésie en tant que lectrice n’a pas été déçue. Parce que oui, il me connaissait un peu comme une grande lectrice par mon entourage mais ne m’avais jamais vu réellement lire depuis qu’il me connaît. Mais avec Shari Lapena, j’ai été happée par l’histoire. Un bébé qui est laissé seul au denier moment pour aller diner chez les voisins, car la baby-sitter avait eu un empêchement de dernière minute. Pas réellement un huit-clos, mais le fait que les parents n’osent pas sortir à cause de leur culpabilité et la honte médiatique qui s’abatte sur eux et qu’il y ait pas 36 milles personnages, fausses pistes et que les enquêteurs butent sur la présence initialement prévue de la baby-sitter m’a assurée un suspense et un rythme haletant.

J’ai également pu enfin attaqué Indridason. Même si je suis passé de la romance à un thriller du froid (je ne sais plus dans quel pays nordique cela se passe réellement) , j’ai beaucoup aimé les histoires ainsi que le fait que les enquêteurs ont une vie en dehors des romans. Bien évidemment les tomes ne racontents que les enquêtes, mais comme on est plongé dans les pensées d’Erlendur, on suit aussi l’évolution de ses enfants adultes et plutôt partis du mauvais côté de la balance. L es sujets peuvent être dur à encaisser: meurtre d’enfants, viols, pédophilie etc. L’auteur décrit durement la dualité de cet univers sans tombé dans le pathos ni le sarcasme ou encore le cliché du flic, seul contre tous..

Les Enquêtes d'Erlendur - Les trois premières enquêtes d'Erlendur (  Arnaldur INDRIDASON )

Les sorties cinéma.

La première sotie cinéma après le déconfinement fut Sans un Bruit 2. J’ai bien aimé le film, de voir dans le prologue, comment s’est passé l’arrivée des monstres et enchaîné après le générique du début sur la suite des évènements du au un m’a agréablement surpris. Je pense que je n’aurais pas aimé un préquel mais voir la bascule entre le monde d’avant et le monde que l’on découvre dans le premier opus est assez intéressant. Après j’avoue qu’entre la sortie de Sans un Bruit 1 et de Sans un Bruit 2 au cinéma, je n’avais pas revu le film et oublié quelques détails. Et comme pour le 1, j’ai du demander des explications sur des petits choses que j’avais loupé, et des petits travers scénaristiques. Enfin, sur des petites choses qui me paraissent un peu trop gros, mais en même temps sans ces nouveaux éléments perturbateurs, le film aurait traîné en longeur. Ce qui n’est pas du tout le cas dans le rythme de la narration.

La deuxième fut Cruella, et pour une fois j’avais rien à redire sur les méchants de Disney. Bon après personnellement, j’ai choqué la vendeuse lorsque je lui acheté les billets en disant que Cruella a toujours fait partie des mes méchantes préférées pour ne pas dire la préférée. Elle se dispute un peu la place avec le Dr Facilier. Alors bien sur, je n’aurais pas aimé qu’elle gagne et elle me faisait peur lorsque j’étais gamine. Mais, finalement, de toutes les méchants Disney de ma jeunesse c’est celle qui m’avait le plus marqué et puis j’adore la chanson que Roger lui dédie. J’avoue que la vendeuse m’a bien fait rire en voulant nous convaincre d’aller voir le film alors que j’avais déjà les places. Oui, chéri a un peut été contraint de m’accompagner mais pour ma défense c’est lui qui a proposé. Elle a quand même réussi à me spoiler la scéne de post générique (oui, il faut rester après le générique) et m’a informée que le 2 était déjà prévu au cas où Cruella fonctionnerait bien. (j’ai un peu perdu la mémoire, je ne sais plus si ils l’ont déjà tournés ou encore si ils sont en train de le faire, mais dans tous les cas il est en préparation. Entre les trois derniers films que j’ai vu au cinéma, Cruella reste mon préférée. Je ne sais pas trop comment le raconter sans le spoiler, mais on y apprend évidement comment Cruella est devenue ce qu’elle est. Et comme on évolue quand même dans un milieu de mode, les costumes sont magnifiques et les arnaques sont belles. Et non, elle ne tue pas les chiens dans le film. Je le dis, parce que je sais que ça a rebuté pas mal de monde, et que certains ne veulent pas aller le voir à cause de ça, mais cela reste quand même un Disney.

Et bon pour le dernier, j’ai accompagné mon homme, grand fan d’Alexandre Astier et de Kaamelott au cinéma. Personnellement, je connaissais pas la sérié-hormis les passages à la télé qui sont dans le désordre. Et bah franchement, le pari de doner envie d’aller mater l’intégrale de la série pour les non initiés à été réussi pour moi. Après, je la regardais aussi avec mes frères aînés quand j’étais petite,, qu’on avait le droit de regarder la télévision si elle fonctionnait et que c’était à leur tour de choisir le programme. Mais même si j’ai bien compris l’histoire et qu’il y a pas vraiment besoin de regarder la série pour voir le film, mon homme assure que j’ai loupé plein de petits détails et que la profondeur des scènes m’a échappé. Je vais essayer de ne pas spoiler, mais je vous garanti rien. En fait, on a eu un petit débat sur le pourquoi de certaines scènes, l’explication qui est donné dans le film est logique pour moi, mais d’après lui et d’autres fans il ne s’agit pas des vraies raisons des personnages et qu’il faut voir la série pour comprendre. Bon, du coup, il m’a spoilé la série et personnellement je ne vois pas trop ce que ca change.

Par contre, concernant la scène du post-générique : oui, il faut rester et j’ai du galérer pour que mon compagnon la regarde alors que c’est lui le fan et qu’elle n’est compréhensible que si on a vu la série. Et il était tout content de la surprise…. Et j’ai eu un peu de mal à comprendre les scènes où l’on voit enfant Arthur, car les passages étaient un peu trop éloignés les uns des autres pour que je comprenne vraiment le fil. Après vu que les scènes sont distillés en fonction des souvenirs du ro, qu’il ne s’agit pas d’ellipses temporels, leurs distances s’expliquent facilement . Et faut dire aussi que j’ai un peu perdu le fil de l’histoire par une douleur au poignet qui est intervenu pendant le visionnage. Donc je pense que j’ai eu aussi des petites absences qui avaient rien à voir avec le film à l’écran.

Mortels trafics au delà de l’horizon

Bonjour Les Loulous,

Aujourd’hui, je vais vous parler de deux auteurs de polars. Après avoir hésité entre découvrir (en livre) la saga Twiligt et deux nouveaux Karine Giebel pour la saison d’Halloween, j’ai finalement décidé de sortir mon dernier achat livresque Frank Tilliez. Et enchaîner avec les livres gentiment prêtés par mon entourage- avec plus ou moins d’insistance de ma part pour la saga (oui, merci les mirabelles 😉 ).

Bon j’avoue que pour son recueil de nouvelles, je penser vraiment à un ton policier, voire triller, mais selon les nouvelles il y a un petit mélange de…. nouveautés assez plaisante. Toutes les nouvelles ne sont pas à mettre sur le même pied d’égalité et j’ai quand même une préférence pour la nouvelle qui se passe sur Mars, l’histoire de sang et la mise en abîme de l’écrivain. Paradoxalement, il s’agit des nouvelles les moins rationnelles qui m’ont le plus. Mais, de toute façon comme toujours le suspense est (presque) toujours au rendez-vous avec cet auteur.

Et puis avant de m’attaque aux livres empruntés j’ai reçu deux romans de Pierre Poucharel dont le prix du quai des orfèvres 2017, « mortels trafics ». Pensant avoir affaire à une enquête criminelle sur les trafiquants de drogue, et l’ayant commencé dans un contexte trop bruyant et assez mouvementé pour me concentrer sur ma lecture, j’ai subi un choc en découvrant que l’enquête commençait par un meurtre d’enfant dans un hôpital. Je l’ai plus lâché après ça, d’autant plus que pour le coup la lecture est fluide, chronologique. J’étais un peu un manque d’un roman policier qui ne passait par les flash-black, parfois rabistoqués au non du suspens. Là, pour le coup, tout est raconté de façon linéaire, et la question à milles dollars étant il y a t-il réellement un lien entre ces deux enquêtes ? Vu que les protagonistes sont perplexes et oscillent entre oui et non, je ne dirais rien de plus là-dessus.

J’ai juste à ajouter que mon cœur balançait déjà entre Stéphanie Meyer et Karine Giebel pour les prochaine lectures, est désormais également partagé avec le tome suivant « tuez les tous, mais pas ici ».

La pire soirée de ta vie d’Andy

Hello, Allez on prend les bougies, on se cale sous la couette ou au mieux près de la cheminée avec les volets bien fermés. Et on part pour une soirée d'halloween frissonante. Pour ma part, j'ai déjà lu ce petit bijou en été et j'ai eu la trouille. Alors je ne sais pas trop dans quel état je vais finir quand je vais le relire avec cette ambiance. Je veux bien sur parler du livre d'Andy Roswki, la pire soirée de ta vie. Pour la vidéo qui en fait la promotion il suffit de cliquer ce lien: https://youtu.be/KwyYE01XCUw

Pour l’instant je n’ait fait qu’un fin et demie. Une qui pouvait se voir des kilomètres à l’avant et j’avoue que le petit commentaire du stylee « tu croyais vraiment pouvoir t’en sortir en choisissant ce chapitre, tu peux t’arrêter là ou changer ton choix et aller à la fin de cette histoire » m’a bien fait rire. Bon, j’avoue que je ne me souviens pas exactement de la phrase, qui est en réalité beaucoup plus sympa. Je suis très curieuse de savoir si j’ai fait la fin heureuse ou pas, et puis de je veux connaitre les mauvaises fin aussi; Je me suis vraiment attaché aux personnages, aux gentils comme aux mauvais même au fantôme qui m’a tuée, je lui ai envie de faire un petit câlin, en mode tu m’a tuée, mais c’est pas grave, je sais que c’est pas ta faute. Oui, je sais, je suis un peu dingue, mais c’est la faute de l’illustratrice. Même sans lire l’histoire on a envie de se plonger dans ses dessins. Mon chéri qui ne lit pas du tout, est resté captivé par les images. Bon, on ne va pas se mentir, il l’a toujours pas lu et il lira jamais je pense c’est un cas désespéré. Pour ma part, je suis resté fascinée par l’histoire aussi. En plus je ne peux même pas m’énervée contre le héros puisque c’est un roman dont tu es le héros et les choix de Sacha, bah c’est moi qui les décident. Je ne sais pas trop pourquoi, mais avec le principe de livre dont tu es le héros, j’ai toujours peur qu’il n’y ait pas du tout de description du héros ou au contraire que tout soit trop décrit, Franchement, pour le coup le dosage entre les descriptions du héros Sacha, de ses amis et surtout pour rentrer direct dans l’atmosphère d’Halloween avec le dédain , que pour ma part j’aurais dans la vrai vie, pour cette petite peur ridicule est bien fait. Pour le coup, je n’ai aucune photo du livre, car j’ai un peu caché mon chouchou dans l’appartement pour le retrouve le 31 octobre. Bon, je sais , cet article ne sortira qu’au mois d’octobre mais pour l’instant on est début septembre et je garde la maison de mes parents donc le livre est très loin de moi, bien protégé. Il fait parti de mes chouchous c’est clair et j’hésite presque à le faire rejoindre l’étagère des romans dédicacés, Harry Potter et Doctor Who. Si vous ne l’avez pas encore compris La pire soirée de ta vie à rejoint mes chouchous. Et du coup je pense que je ne vais pas trop tarder à craquer sur Death Escape d’Andy Rowski et de Lucie Dessertine. Par contre, je ne sais pas du tout si c’est la même illustratrice, mais j’ai déjà très envie de me le procurer alors que je n’ai même pas encore eu le temps d’explorer les 11 fins possibles de ma visite au manoir.

Bonne lecture.

Romance- L’Art d’écouter les battements de coeur.

Bonjour Les Loulous, aujourd’hui on va parler romance et coup de coeur avec Jan-Philipp Sendker.

Ce roman est un petit coup de coeur pour moi. Depuis le temps que je recherchais une romance pour souffler un peu des thrillers, des sagas fantastiques. Bref, juste un petit échappatoire sans faire de nuit blanches; Bon j’en ai quand même fait parce que j’étais incapables de lâcher le livre tellement que je souhaits connaître la suite de l’histoire que Julia entendait. Julia est une jeune actif qui a perdu son père il y à quelques années. Comme sa mère et les autres membres de sa famille, elle ne sait pas réellement si il est mort ou si il a fui sa famille. Son père était un orphelin originaire de Birmanie. Elle finit par partir en Birmanie à la recherche de son père et découvre l’histoire de Tin Win, petit garçon qui attend en vain le retour de sa mère, une femme superstitieuse, persuadée que son nourrisson né au mois de décembre ne sera que source de malheur. Mais, la voisine de Tin Wini fini par recueillir le garçon et via le monastère il rencontre l’amour de sa vie Mi M. Et pourtant le récit qu’écoute Julia lui semble aux premiers abords dictés par un cahralatn; Tin Win et le père de Julia, bien que très aimant envers sa famille, lui semble être desx personnes totalement étrangère; Pourtant une force invisible, l’espoir peut-être amène Julia à entendre chaque jour la suite de l’histoire de Mi Mi et Tin Win. C’est une belle histoire d’amour qui est conté. Et je ne peux pas en dire en plus, car je pense que c’est vraiment la surprise d’écoute- comme si son était à la place de Julia- qui fait le charme de ce livre. Je l’ai lu très rapidement parce que malgré la disparition du père, la pauvreté du conteur en Birmanie et la pauvreté du pays qui est décrit, rien ne semble réellement triste. Le style d’écriture est juste touchant; J’ai vraiment été emporté dans un autre monde, sans qu’il y ait eu besoin d’inventer un dystopie, juste en prenant un thé avec le narrateur sur sa paillasse, en humant le parfum des fleurs à travers le nez de Julia.

Il s’agit quand même du tome 1. Dans le tome 2, on retrouve Julia 10 ans après sa visite en Birmanie et le voyage qui lui a servi de « feel good ». Mais, elle est avocate et un jour en pleine réunion, elle entend un voix qui la fait quitter précipitamment sa salle; Je viens de juste commencer à le lire, donc pour le coup je peux rien dire. Mais, d’après le résumé, cela va la pousser à repartir en Birmanie pour connaître la source de cette voix, là ou elle va découvrir l’histoire d’une femme Nu Nu, qui aura de l’influence sur Julia. Mais l’auteur semble avoir gardé le même style d’écriture pour mon plus grand bonheur.

Bonne lecture à tous.

Ambiance Far West Avec La griffe du Chien De D. Winslow et Voyage en avec les Cartes Postales de Grèce de V.Hislop

Bonjour Les Loulours,

Aujourd’hui j’ai trois romans et tête , La Griffe Du Chien de Winslow, La pire soirée de ta vie d’Andy Rowskli, et des Cartes Poshales de Grèce.

Avec la Griffe du chien, on suit Art Keller, et deux ou trois bandes de cartel. J’avoue que j’ai eu du mal à m’accrocher au début du roman et à comprendre la chronologie du roman. Je n’ai pas non plus réussi à relier tous les personnages et les péripéties entre elles …sauf à la fin du livre. Et je m’attendais vraiment pas à cette fin, donc cela était plutôt une bonne surprise. D’autant que ces derniers temps, les fins me laissaient sur la faim. Mais, pas celle-ci. Je trouve qu’au contraire La grille du Chien promet une belle fin (apparement il y aurait une suite , mais je ne l’ai pas encore lue donc je suis assez curieuse de savoir ce que ça peut donner). Mis à part les ellipses temporelles brusques j’ai aimé l’ambiance cow boy solitaire contre le reste du monde. Le héros est né en Mexique et travaille pour les Etats-Unis. Art Keller est confronté presque malgré lui à l’alliance des cartels de drogue avec ses chefs et surtout au fait qu’il a aidé la drogue à s’installer en voulant combattre le mal. Andan Barrerra, aussi est sympathique. Ce n’est pas un méchant parce qu’il est méchant mais peut être seulement un adolescent qui voulait aider son ami à ne pas se faire tuer. Seulement il n’est pas naïf et il assume les conséquences de ces actes. Après il y a plein d’autres personnages qui gravitent, mais j’avoue que sont les deux préférés. Et comme la lutte s’effectue principalement entre ces deux protagonistes , j’ai trouvé assez intéressant à lire en raison du suspens. Après le bémol, c’est que je suis pas entrée tout de suite dans l’histoire et je pense que du coup j’ai perdu en confort de lecture.

Les deux autres romans sont en quelque sorte en court de lecture. Il s’agit du petit bijou qu’est la pire histoire de ta vie d’Andy Rowski. Au final, je vais peut-être en parler plus tard. Je n’ai pas encore fait tous les scénarios possible. Mais , après une fin possible, j’ai difficilement laissé de côté pour prendre un des romans de ma PAL (principalement constitués de livres que mon père m’a prêté à la fin du confinement et que ce dernier voudrait bien récupérés d’ailleurs assez vite. Ce qui m’oblige un petit peu à accéder mon rythme de lecture pendant mes vacances d’été).

Donc, je me suis plongée avec délice dans les cartes postales d grâce de Victoria Hislop. Autant je m’étais méfie de l’ile des oubliés et j’avais été happé par l’intrigue, autant ici j’ai beaucoup de mal à m’attacher aux personnages. Alors le point de départ est une jeune qui reçoit des cartes postales d’un anonyme qu’elle ne peut réexpédier à l’envoyeur- contrairement à ses autres courriers perdus. Elle finit donc par s’attacher aux cartes postales, elle les punaise dans sa chambre. Et à force de lire un courrier qui ne lui ait pas adressée, elle prend des vacances sur un coup de tête pour aller visiter la Grèce.

Le point de départ était assez intéressant et peu être que j’en attendais trop. Je voulais suivre les aventures de la jeune fille en question. Mais, en fait , non elle s’installe à l’hôtel et lit le carnet qu’elle a reçu le dernier jour avant son départ. Dans ce carnet, l’auteur anonyme raconte son voyages et sur toutes les histoires que les uns et les autres lui rapportent. A part quelques nouvelles intéressantes j’ai un peu de mal à accrocher à toutes les histoires, notamment celles qui sont racontés par l’intermédiaire de l’intermédiaire de l’intermédiaire. Après, je pense qu’il fallait le voir comme un recueil de nouvelles et non une histoire en elle-même. Honnêtement je ne suis pas encore arrivée à la fin, donc peut être qu’il y aura une bonne surprise. En revanche , le roman se lit très bien. L’écriture est fluide et pas une seule fois j’ai mélangé les noms des personnages même lorsqu’il y a des homonymes. Je voulais un peu me reposer des frissons que j’ai eu avec les deux livres précédents, mais finalement, il faut quand même reconnaître que les balades calmes ce n’est pas trop mon genre de lecture. Et je pense que pour les lecteurs qui aiment ce style, le roman fait passer un très bon moment. Il faut reconnaître que j’ai passé un moment agréable , mais sans plus. Mais, comme déjà dit plus tôt , je ne suis pas encore arrivé à la fin. Si je ne me trompe pas, il doit me rester une centaine de pages à lire. A voir si une étincelle se fera dans mon coeur pendant la dernière partie du livre.

Bonne lecture À tous

Une série livresque, une série TV/sur la faim.

Bonjour Les Loulous,

Il y à quelque temps, mon meilleur ami m’a prêté la série des Pokémon, basé sur le jeu et j’en suis asse fière. Mais, au bout d’un moment, je m’en suis laissé. Le dernier personnage auquel je me suis réellement attaché était Jaune. Le duo Saphir/Rubis commence à prendre un peu de valeur à mes yeux à la fin du game. En fait, je me retrouve un peu dans cette vidéo: https://youtu.be/NYVj3gv848I.

Mais, ce n’est pas les seules fins qui m’ont déçues. Bon, en même temps, je lâche un peu la série en cours de route. C’est un peu une petite pause comme la sérié télé The Killing. Pour l’instant je m’en suis arrêté à la saison 1, deuxième partie, au final bien sur. Sachant que les épisodes durent une heure, j’ai un peu plus de mal à me plonger dans la série. Les rebondissements sont presque tous inattendues et je reconnais que la série tient en haleine. Elle raconte l’histoire de Sarah Lundt, de la famille de Nana Birh Larsen, après que le cadavre de l’adolescente soit retrouvée dans la forêt. Mais, je ne sais pas après une vingtaine d’épisodes d’environ une heure sur toutes les répercussions dans la sphère privée, policière et politique, j’aurais aimé un final un peu plus « explosive » à la hauteur des épisodes précédents.

22/11/63, nouveau flirt

Bonjour,

 

Encore Stpehen King, cette fois j’ai (re) découvert 22/11/63. Il s’agit d’une histoire de voyage dans le temps amenée tout doucement mais surement. IMG_0738Pas de vaisseau spatial, de cabine bleue à la Doctor Wh0, juste une pièce caché qui permet de passer des années 20OO à l’année 1962. Tu restes autant de temps que tu veux là bas, et quand tu reviens ça ne durera que 2 minutes, mais avec les ravages du temps. Et c’est une remise à zéro total à  chaque passage, du moins d’après Al. Mais, peut t-on vraiment lui faire confiance ?

Le héros, un simple prof de Dalles ou de Derry qui veut sauver son concierge en empêchant l’assassin de Kennedy. Personnellement, l’intrigue m’a séduite et le mélange entre actions et sentiments du narrateur avec ses quelques apostrophes au futur lecteur imaginaire m’a fait sourire. Après je n’ai pas cherché à comprendre la logique chronologique des actions, mais cela est peut être difficile pour un voyage dans le temps.

 

 

 

L’institut , Stéphen KIng

Bonjour ,

 

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Aujourd’hui, j’ai craqué su la couverture de l’Institut écrit par Stephen King.  D’habitude, je n’arrive pas à lire les romans de cet auteur, soit parce que je n’arrive pas à m’attacher aux personnages soit parce que les histoires sont trop connues. Du coup, je n’ai jamais réussi à trancher. Mais,là, j’ai eu un coup sur la couverture du bouquin. Et pressée, je l’ai pris sans vraiment voir le nom de l’auteur ni regarder la 4ème de couverture.

Mais, dans l’Institut, je me suis senti bien, au chaud, enroulée dans un bon plaid  à l’arrière de la voiture du flic à regarder à travers la vitre défiler le paysage d’une ville brumeuse.

En réalité l’intrigue ne commence pas comme ça, mais par un avion et la notion de hasard assumée. Pas de fausses coïncidences , sauf que ce personnage ne reviendra pas avant la fin du roman. Et pour cause, ce n’est pas lui le sujet principal de l’histoire, mais Luke Elis et ses camarades.

Dans sa maison, ses parents sont massacrés et l’enfant kidnappé.

Le lendemain du drame,Luke se réveille dans une chambre semblable à la sienne- mais les différences conduisent au problème de l’Institut.  Dans le couloir, d’autres portes cachent d’autres enfants, dotés comme lui de pouvoirs psychiques. Pourtant, seul Luke semble vouloir s’échapper  Pourquoi ?

Sans spoiler, je me souviens qu’à chaque fois que j’avais un petit coup de lassitude en me disant « et voilà, le gamin ou la gamine va faire ça », on va en fait « apprendre ceci » , j’avais faux. Je ne pourrais pas dire complètement tout faux, car l’auteur ne part non plus dans l’exact opposé de ce qui y est attendu.  Les rebondissements sont plutôt nuancés, tout le suspens de l’intrigue.

Je me suis donc remise sur les insomnies livresques. J’avais hâte de voir comment les enfants grandissent un peu trop vite et deviennent parfois plus cruels que leurs geôliers et comment ces derniers, les « vrai méchants » de l’histoire pouvaient m’imposer de la sympathie et de la pitié.

« Bienvenue à l’Institut, quand les enfants y entrent, ils n’en sortent plus ». Et nous, non plus.

 

 

L’enfer, la nuit des cauchemars

Bonjour Les Loulous,

Avec le roman, que le Diable l’Emporte, j’ai retrouvé avec plaisir le Bourbon Kid. Ayant lu le Livre Sans Nom et l’Oeil de lune lors de leurs apparitions et ayant loupé la sortie des autres tomes l’histoire était un peu confuse pour moi pour les références et les intrigues secondaires. Une fois que j’ai réalisé que j’avais loupé pas mal d’événements, la lecture a été beaucoup plus fluide. Je me suis concentré sur la nouvelle intrigue et retrouvé les vampires, bikers, ninjas et autres créatures de l’enfer avec plaisir. Et cela reste mon tome préféré de la saga-enfin; jusqu’à ce que lise en un autre.

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Avec Nightmare Island, les rêves tournent bien sûr au cauchemar. Même si le thème a été visité et revisité plein  de fois, j’étais curieuse de voir comment l’île allait réagir. Mais, personnellement, j’ai été surprise par la fin. J’ai adoré avoir été emmené en bateau comme cela.  Même si à ce niveau là, je suis naïve, ce film à réussi l’exploit d’y faire adhérer mon amie, fan de films d’horreurs et déçues par les déroulements attendues, et son copain qui ne le aiment pas car trop visuels pour qu’il puisse suivre l’histoire.  Le suspens tient au mélange des discours et du visuel (on a bien entendu dû lui expliquer certaines par la suite).

Blog en pause

Hello, tout le monde.

Le blog est en pause pour cause de déménagements successifs  et panne de (nouvelles) lectures depuis le confinement.

En attendant, j’essaie de remplir ma wishlist pour mieux revenir après le confinement.

D’ici là, portez-vous bien.